Maison de retraite « l’Accueil » : dissolution du CIAS (Centre Intercommunal
d’Action Sociale)
Une mauvaise gestion financière
durant plusieurs années par ce CIAS a
conduit les élus à confier la gestion de la maison de retraite à une autre association. Cependant les communes ont dû
renflouer le déficit.Que de temps et de deniers publics perdus parce que nos élus ont laissé perdurer cette situation connue de tous.
SYVOM de l’Ozon :
nous avons validé la dissolution de ce syndicat à compter du 1er
janvier 2014.
Celui-ci aurait dû disparaitre dès
notre adhésion à la Communauté de Communes de l’Est Lyonnais, le 1er
janvier 2013. Par un artifice juridique, notre édile l’a maintenu au profit de
notre commune et de celle de Toussieu, prétextant une compétence du réseau câblé
que n’a pas la CCEL .Marennes et Chaponnay qui constituaient initialement les deux autres communes de ce syndicat se sont retirées du SYVOM fin 2012, avant de rejoindre la CCPO.
Deux questions se posent :
Avait-on réellement besoin de conserver ce syndicat pour Saint Pierre et Toussieu uniquement pour cette compétence réseau câblé (qui n'a pas été utilisée de toute l'année!!!), avec bien sûr les coûts des indemnités de Président et Vice-président pour notre commune?
Et si oui, n’est-ce pas une raison supplémentaire pour justifier que l’adhésion à la CCEL est un mauvais choix?
Nos autres partenaires, Chaponnay et Marennes, ont intégré une intercommunalité présentant toutes les compétences, réalisant avec bon sens, des économies pour leurs administrés.
Fond de concours à la CCEL :
Une fois de plus, nous avons dû revoir les budgets à la hausse.Après avoir versé un fond de concours de 200 000 € HT en avril 2013 à la CCEL, nous devons l’augmenter de 93 048 € HT pour couvrir le financement de nos travaux de voiries à réaliser sur 2013.
L’enveloppe initiale pour financer nos travaux de voiries en 2013 était de 473 272 € TTC.
Elle passe ainsi à 820 000 € TTC.
Ce dossier ne montre pas seulement l'incapacité pour le maire et son équipe de prévoir un budget et de s'y tenir. Il illustre une fois de plus le manque de concertation. Les élus sont mis devant le fait accompli.
Pour preuve, notre maire a attendu décembre pour nous demander de valider cette augmentation qu'il a déjà validée auprès de la CCEL en juin dernier: